A onze heures pétantes ce matin, il n'y avait plus aucun dirigeant de presse joignable sur la place de Paris. Pourquoi ? Parce que tout le monde, venin et poignards rentrés, s'était précipité à l'Elysée pour assister aux voeux du Président à la Presse.
Soucis journalistique ? Pas le moins du monde : les voeux de Jacques Chirac sont retransmis à la télé. Non. Ils (et elles) sont tous (et toutes) là parce que justement c'est l'occasion d'y être et d'"en être".
Accessoirement l'occasion de flater, une dernière fois, ce souverain républicain dont on vient de passer l'année à dire tant de mal.
Il faut dire que comme chaque année, l'Elysée, plutôt avare de sa communication, a bien fait les choses. On a littéralement convié toute la place de Paris. Comme pour se faire pardonner cet assourdissant silence présidentiel. Il n'est pas un présentateur, pas un journaliste politique ou diplomatique qui n'ait reçu son petit bristol. "Tenue de ville"... "Prière de se présenter entre dix heures quinze et dix heures quarante-cinq au plus tard". Exercice imposé, de représentation pour les responsables des media, les voeux du Président, sont aussi le premier signe de reconnaissance sociale du jeune ambitieux (ah, le premier carton incrusté du sceau élyséen!), l'endroit de tous les contacts pour le Rastignac de la quarantaine et un exercice de routine pour les vétérans.
Il faut voir, certains de mes confrères et habitués des lieux venir se coller au monarque en fin d'intervention, lorsque les caméras s'éteignent et que l'on reste entre soi. Il faut les observer cherchant son regard, un mot, un geste
(une main sur l'épaule, quelques secondes de plus), un sourire, qui les distingueront des autres. D'autres profiteront plus prosaïquement de l'occasion pour glisser un mot, une recommandation à un confrère bienveillant. Arranger une bisbille, tenter de booster sa carrière. D'autres pour dire du mal de l'un, moquer la fraîche légion d'honneur de l'autre ("il l'aura eu à l'arrâché, c'était maintenant ou jamais"...).
Pour certains, ce sera même l'occasion de juger de la prestance, du profil ou du galbe de la fesse d'un présentateur ou d'une présentatrice télé, dont on aura beaucoup parlé cette année-là. Et oui... On a beau être journaliste, on n'en est pas moins homme... (ou femme...).
Ajoutez que cet aréopage ne va pas se quitter pendant près d'une semaine. Car ce rite républicain va être reproduit quarante fois au moins : chaque ministre sacrifie en effet à son tour à cette séance de voeux qui, à l'affluence, mesure votre influence. Il faudra donc observer les mêmes confrères sortir de l'Elysée, un sourire à nouveau ironique au coin des lèvres, pour se précipiter à la conférence de presse de Nicolas Sarkozy.
Dans cette succession de mots et de buffets, une mention particulière cette année à François Goulard, sans doute le plus anti-sarkozyste et pour sûr le plus original. Par provocation, sans doute, Le ministre de la Recherche, anti-sarkozyste proclamé, présentera ses voeux mercredi prochain au Musée du Quai Branly, si cher au Président la République. La "cérémonie" vaudra le détour, pour les petites phrases qui risquent de fuser. Au pire, on pourra toujours en profiter pour admirer lors d'une visite privée les collections formidable du musée des Arts Premiers.
J'arrête, je sens que j'agace... Cette comédie humaine, en tout cas, est assez joliment résumée par ces mots trouvés hier soir et d'une actualité brûlante :
"Au lieu de gouverner, les hommes politiques se sont mis à communiquer en vase clos. Ils prennent la pose devant le miroir déformant des médias. L'obsession de l'image a orienté leur stratégie. (...) Une esthétique du pouvoir a remplacé l'exercice du pouvoir, concédé à des entourages mondains, des experts technocratiques, des éminences lovées dans des cabinets ministériel, plus habiles à flatter qu'à trancher.Peu à peu, des clans parisianistes ont pris le contrôle (...) d'où une dictature sournoise de l'émotion dans une atmosphère de cour, ou de bas-empire, aggravée par une dérive monarchique dans le fonctionnement de nos institutions. (...) Le peuple est devenu l'oublié d'une démocratie du simulacre et de l'apparence : voilà la cause du mal français".
L'auteur ? Montesquieu, Bayrou, Montebourg, De Gaulle ?
Devinez...
@ Laurent :
Merci pour ce nouvel article !
Je dois m'absenter, cet après-midi, dont je le commenterai plus longuement tout à l'heure.
Je fais très court, là.
Sacré JC !
Quel taquin, quel coquin.... et quel suspens !
Je vous souhaite un très bon après-midi Laurent,
A+
Rédigé par : you2 | jeudi 11 janvier 2007 à 13h15
J'ai gagné !
C'est Chirac :-)
CHIRAC (Jacques)
| Bio express : Homme d’État français (1932-)
>
| Source : La France pour tous
J'ai triché... grâce à Google ;-)
Rédigé par : Helder | jeudi 11 janvier 2007 à 13h40
Bah c'est une phrase de Jacques Chirac évidemment !!!!!!
Rédigé par : Damien | jeudi 11 janvier 2007 à 13h41
Pour INFO :
http://www.citationspolitiques.com/theme.php3?id_mot=7
Rédigé par : Helder | jeudi 11 janvier 2007 à 13h41
@ Damien
J'ai gagné à 1 minute près ;-)
Rédigé par : Helder | jeudi 11 janvier 2007 à 13h42
@ Laurent,
"J'arrête car je sens que j'agâce... Cette comédie humaine, en tout cas, est assez joliment résumée par ces mots trouvés hier soir et d'une actualité brûlante : "
Comme je vous comprends, ayant été pendant quelques années dans un magazine qui faisait tous les ans un "raout" ou étaient invités, des annonceurs, des peoples du show biz, des journalites TV, etc... j'ai pu observer le panier de crabes (et le mot est bien faible)dont certains attendaient une reconnaissance toute médiatique, qui venaient déverser, de face des flots de gentillesse aussi sucrée que sirupeuse, collant comme une barbe à papa et de dos un torrent de jalousie pimentée d'acide vitriolé.
La première année, c'est amusant, mais la deuxième année et les suivantes devenaient de plus en plus indigestes, malgré les petits fours et autres amuse-gueules d'un grand traiteur. Feindre avec sourire et ronds de jambe, alors que l'on aurait plutôt envie de les prendre à son coup, c'est un exercice que je ne souhaite à personne, même à mon pire ennemi.
Rédigé par : Gillou | jeudi 11 janvier 2007 à 13h42
perdu !
juste à une minute près !!!!!
ahhhhhhhh
Bon tant pis !
Puisque le bruit court que Nicolas ou/et Ségolène iraient en Inde....
http://lindependante.blogspirit.com/
Rédigé par : Damien | jeudi 11 janvier 2007 à 13h42
Très drôle sur la forme, et à la fois navrant sur le fond ce que vous écrivez. Merci.
Il écrit bien Mr. Chirac, hum.
C'est clair, sauf catastrophe, qu'il ne se présentera pas, mais il veut absolument s'imposer dans la campagne, dans la continuité tranquille, et s'il peut en plus embêter Mr. Sarkozy, pourquoi se priverait-il..., pff.
Rédigé par : Fredhttp://lindependante.blogspirit.com/ | jeudi 11 janvier 2007 à 13h49
Laurent Bazin,
Pour une fois, je viens sur votre site en tout début d'après-midi, et je trouve un texte digne du pire médiato-politophobe de la planète.
La phrase de.... ?
Enfin en tant que représentant du monde du travail dans votre blog, cette phrase je la ressens comme éminement vraie, car bien au dessus de la bassinante et osbsolète obsession droite/gauche de nos concitoyens, obsession qu'encouragent des politiciens qui n'y croient pas eux mêmes.
Les "élites" de ce monde divisent le naïf petit peuple en camps opposés afin de mieux continuer à l'exploiter.
Merci Laurent de ce superbe sujet !
Rédigé par : Gilbert Sorbier | jeudi 11 janvier 2007 à 13h57
La but ultime de l'être humain achevé est de dire ce qu'il fait et surtout de faire ce qu'il dit.
Si cette phrase est de Chirac, cela veut-il dire qu'il est le comble de l'inachevé ?
Rédigé par : Gilbert Sorbier | jeudi 11 janvier 2007 à 14h03
N'arrêtez pas, M. Bazin. Votre blog est d'utilité publique :-).
Rédigé par : MDY | jeudi 11 janvier 2007 à 14h24
Cher Laurent, Ce que vous racontez plus haut induit très exactement ce que je me tue à répéter et corrobore le fait qu’une élite de possédants « tient » le pays dans sa main et refuse toute réforme qui pourrait sauver l’économie française sans augmenter leur capital.
En effet le « plan Borloo » consiste en premier lieu à détaxer le travail pour taxer les achats de produits étranger et de luxe et surtout les revenus. Tous les pays d’Europes ont compris qu’il fallait privilégier le travail par rapport aux revenus, car à terme cela profitera aussi aux Patrons par la plus-value de leur entreprise. Malheureusement en France et en Italie les clubs de « Rentiers de situation » a toujours la main mise sur les partis de pouvoir (UMP & PS).
Rédigé par : Gilbert Sorbier | jeudi 11 janvier 2007 à 14h54
@ Gillou
Un bref petit post, car je dois ressortir.
Je vous cite :
"Comme je vous comprends, ayant été pendant quelques années dans un magazine qui faisait tous les ans un "raout" ou étaient invités, des annonceurs, des peoples du show biz, des journalites TV, etc... j'ai pu observer le panier de crabes (et le mot est bien faible)dont certains attendaient une reconnaissance toute médiatique, qui venaient déverser, de face des flots de gentillesse aussi sucrée que sirupeuse, collant comme une barbe à papa et de dos un torrent de jalousie pimentée d'acide vitriolé.
La première année, c'est amusant, mais la deuxième année et les suivantes devenaient de plus en plus indigestes, malgré les petits fours et autres amuse-gueules d'un grand traiteur. Feindre avec sourire et ronds de jambe, alors que l'on aurait plutôt envie de les prendre à son coup, c'est un exercice que je ne souhaite à personne, même à mon pire ennemi."
Cela semble être un monde bien superficiel et je comprends votre écoeurement.
L'article de Laurent est très intéressant, en cela qu'il décrit bien également ce monde, qui paraît tellement faux, et tellement peu humain, finalement.
Le monde du paraître plutôt que de l'être, à l'heure, où, et je rejoins Gilbert aussi, il serait impératif d'être, plutôt que de paraître, si nous voulons sauver la France de la déroute et / ou du dépot de bilan, et que notre pays s'en sorte.
A+
@ Gilbert :
Remercions en effet Laurent pour ce superbe sujet.
Et bien d'accord avec vous, je vous cite :
"Cher Laurent, Ce que vous racontez plus haut induit très exactement ce que je me tue à répéter et corrobore le fait qu’une élite de possédants « tient » le pays dans sa main et refuse toute réforme qui pourrait sauver l’économie française sans augmenter leur capital."
Je suis vraiment content, pour ma part également, que Laurent nous ait écrit cet article.
A+
Rédigé par : you2 | jeudi 11 janvier 2007 à 15h44
Cher confrère,
(j'adore, comme vous j'imagine, faire du "cher" à un confrère en ces périodes de voeux, ;-))
c'est joliment tourné et nous, petits journalistes provinciaux, nous y croirions d'autant plus que, toutes proportions gardées et en changeant le nom du monarque, c'est notre vécu annuel.
Mais bon, les journalistes "politiques" lorrains étant moins nombreux qu'à Paris (mais probablement pas moins enclins à apprécier les "caresses"), on les invite en même temps que les "Corps Constitués" !
Venez donc vous en rendre compte par vous même ce lundi 15 janvier, Jean-Pierre Masseret (Vous savez, l'ancien ministre des anciens combattants de Jospin) présente ses voeux de Président du Conseil Régional à 18h en l'Hôtel de Région à Metz.
"Nous aurons sans nul doute, plaisir à vous voir".
Bien confraternellement
Jean-Christophe Dupuis-Rémond
Rédigé par : jcdr | jeudi 11 janvier 2007 à 16h06
@ you2, oui j'ai été abasourdi, moi qui venait de quitter une unité de production et qui me retrouvait comme "rédacteur en chef technique" d'une maison d'édition de magazines, qu'elle ne fut pas ma surprise de découvrir ce monde ou tout est faux, j'avais des doutes pas à ce point.
Même au sein de cette entreprise cela sentait le faux (sauf quand vous ne plaisiez plus, pas de problème pour moi comme technicien), dans les conférences de rédaction, tout le monde était l'ami(e) de tout le monde... Une phrase qui revenait souvent "Il (ou elle) ne peut rien me refuser"... J'ai très vite compris..., le vent n'avait pas de prix !!!
Rédigé par : Gillou | jeudi 11 janvier 2007 à 16h10
L'auteur? Pas cet aREOpage d'écrivains, mais vous, peut-être Laurent Bâââzin, bien sûr!! :-)
Rédigé par : Chââârles | jeudi 11 janvier 2007 à 17h07
Chââârles,
Il se dit que Chirac en serait l'auteur !
A l'époque de Mitterrand ?
Rédigé par : Gilbert Sorbier | jeudi 11 janvier 2007 à 17h12
Encore un voile de mystère autour de l'auteur de la fameuse citation ? suspens, tant mieux.
@ Charles : merci pour l'aréopage, je corrige et je rougis.
Rédigé par : laurent bazin | jeudi 11 janvier 2007 à 18h36
Pas mal cet article. Laurent, je parle de vous et du sondage a mi-parcours dans mon olé numéro 19 sur http://www.toreador.fr
Toreador
Rédigé par : Toreador | jeudi 11 janvier 2007 à 18h38
Il était une fois, dans un royaume lointain, un petit Bourgmestre qui voulait le bien de ses villageois. Il leur construisit des maisons et y installa des manufactures. Le Roi le remarqua et le fit monter à la cour pour qu’il s’occupe des demeures du Royaume. Il le nomma superintendant et lui octroya quelques cassettes d’écus pour cela. Le petit Superintendant fit son travail comme il le pouvait compte tenu du peu d’écus dont il disposait. Le vieux Roi étant sur le point d’abdiquer en faveur d’un de ses enfants, la princesse Royale Ségolène ou le Prince cadet Nicolas. Le petit Superintendant s’était ému de la pauvreté grandissante des ouvriers et de la faillite des manufactures du au fait que le Grand Argentier du Royaume prélevait sur chaque salaire une somme égale à celui-ci pour le trésor Royal. Les comtes et les Barons du Royaumes, propriétaires des plus grosses manufactures se trouvaient parfaitement heureux de cette situation car ils avaient depuis longtemps placés leurs trésors dans chez les usuriers prospères. Le petit Superintendant s’enquis de ce qui faisait la prospérité des royaumes voisins et se rendit compte qu’ailleurs les Rois ne rançonnaient point autant les échoppes, ateliers, serfs et manufactures. Il proposa alors au Roi une charte Royale.
Une charte où il était dît que la dîme serait augmentée et appliquée aux marchandises venant des Royaumes étrangers, que les bénéfices des Ducs, Comtes et Barons seraient sujets à plus forte gabelle et les produits de luxes taxés mais en échange les salaires ne seraient plus taxés.
La princesse Ségolène, en son fort intérieur, trouvait la charte du Superintendant Borloo très à son goût, mais les Barons qui l’entouraient faisaient tout pour l’en dissuader, ils avaient d’ailleurs formé une alliance redoutable appelée « La coterie des éléphants ». De son coté le Prince Nicolas était entouré depuis toujours par les Ducs les plus puissants indifférents au sort des manufactures puisque leurs trésors prospéraient dans d’autres Royaumes.
Les bourgeois les plus riches soutenaient le Prince, les bourgeois fonctionnaires du Roi soutenaient la Princesse. Le petit peuple affamé, lui, n’était pas concerné par ce vote et ne voyaient que par les Héros populaire, le « Robin des Postes », la « petite Arlette » ou encore le populaire flibustier Breton, le capitaine « Le Pen ».
La Princesse ou le Prince prendront-il les serfs et les travailleurs en pitié en adoptant la charte avant l’abdication ?
Rédigé par : Sar Rabin Drahnat Duval | jeudi 11 janvier 2007 à 18h41
"Pour certains, ce sera même l'occasion de juger de la prestance, du profil ou du galbe de la fesse d'un présentateur ou d'une présentatrice télé, dont on aura beaucoup parlé cette année-là. Et oui... On a beau être journaliste, on n'en est pas moins homme... (ou femme...)."
C'est vrai que ce matin je me posais une question au sujet du galbe de... Nathalie ! Humour ;-)
Rédigé par : Helder | jeudi 11 janvier 2007 à 18h58
@ Sar Rabin Drahnat Duval, il ne peut pas me donner les numéros de compte bancaires des Prince et Princesse ???? J'aurai des ponctions à faire !!!
Rédigé par : Gillou | jeudi 11 janvier 2007 à 19h09
@you2 où en êtes-vous des entretiens?
A +
Rédigé par : such | jeudi 11 janvier 2007 à 19h54
@ Such:
Merci beaucoup, Such, de prendre de mes nouvelles pour mes entretiens. C'est super gentil !
Pour celui où je me suis rendu lundi (enfin, le 5ème dans cette structure...) et où je devais avoir une réponse sous 24 H ou 48 H, et bien, je n'ai, à l'heure où je vous écris, aucune nouvelle...
Je vais donc les contacter demain, pour savoir ce qu'il en est.
Entretemps, comme je vous l'indiquais hier, je crois, j'ai reçu l'appel d'une société, à qui j'avais envoyé une candidature spontanée il y a certain temps déjà et m'invitant à un entretien.
Je reviens à l 'instant de cet entretien.
Ils ont un poste, bien réel, à me proposer, le remplacement d'une personne qui est mutée ailleurs.
L'entretien s'est très bien passé et je dois rencontrer une autre personne de cette même structure lundi.
J'espère que ces pistes déboucheront sur un travail, surtout celle de la structure d'aujourd'hui, où, à la fois le poste, mais aussi le domaine d'activité me plairaient vraiment beaucoup, encore plus que l'autre en tout cas, car cela correspond mieux à mon profil.
Mais à vrai dire, arrivé où j'en suis, j'irai où on m'embauchera...
La conjoncture étant ce qu'elle est, je n'ai jamais eu l'occasion de refuser, car pour certaines structures où je me suis rendu, j'attends encore de savoir si c'est oui ou si c'est non, les entreprises aujourd'hui ayant toutes un très "grand" courage et préférant nous laisser dans le doute.
Même si vous les relancez, vous n'en savez pas plus.
Parfois, cela me donne (ou nous à tous chercheurs d'emploi) l'impression qu'ils constituent seulement des réserves.
Drôle d'impression,en tout cas, guère agréable.
Donc voilà en gros les nouvelles.
Nous verrons.
Je pense que cela se présente bien, toutefois, pour ces deux structures dont je vous parlais, et encore plus celle d'aujourd'hui, je pense.
Bon, je vais lire les autres posts, car du coup, j'ai pas mal de retard...
A+
Rédigé par : you2 | jeudi 11 janvier 2007 à 20h53
Sure, my pleasure, Laurent!
Rédigé par : Charles | vendredi 12 janvier 2007 à 01h42